Maurice, Emile, Jean CURE né le 15 mai 1910 à Narbonne au 12 Avenue de Toulouse.
Fils de Léon, Paul CURE, chauffeur au chemin de fer, et de Marie, Joséphine AVIZOU, couturière.

Titulaire du certificat d’études primaires.
Dessinateur à Carmaux dans le Tarn, il est incorporé le 15 avril 1931 au 173e Régiment d’Infanterie pour son service militaire.

Réside à Carmaux au 118 Route Nationale le 21 juin 1932.

Il s’unit le 8 juin 1933 à Albi avec Rose, Marie FLAVIER (1912-1985), sans profession.

Réside à Tarbes au 7 Avenue Jules Lafforgue le 31 juillet 1937.

Nommé Caporal le 15 novembre 1937.

Rappelé à l’activité le 2 septembre 1939 et affecté au 112e Régiment d’Infanterie Alpine.

Classé service auxiliaire, le 10 janvier 1940, par la commission de réforme de Chalons sur Marne pour une cicatrice-brulure bras gauche.

Fait prisonnier à Pertain dans la Somme le 6 juin 1940. Interné au Stalag VII A à Olsztynek en Pologne. Rapatrié le 15 juillet 1942.

Démobilisé le 18 juillet 1942, se retire à Tarbes, 5 rue Bernard Palissy.

Campagnes contre l’Allemagne du 4/09/1939 au 17/07/1942.

Décédé le 7 avril 1944, à l’âge de 33 ans, dans le tunnel de Coudoulous à Bouziès dans le Lot, suite à l’explosion d’un train d’approvisionnement pour l’occupant. Acte de décès de la commune de Cajarc en date du 30/01/1956
Mort pour la France. Victime civile.

Il était chef de district à la SNCF. 

Inscrit à la gare de Cajarc sur une plaque à la mémoire de 8 agents SNCF morts pour fait de guerre dans le tunnel ferroviaire de Coudoulous.

 

Sources : MDH – AD11 – AD47 – AD81 – Insee – La Dépêche (17/04/2016)